.On garde ce monde a l'interieur.
.On a toujours trop peur de ce qu'on cache à l'interieur.
elle se deteste, elle se degoute, au point qu'elle se donne envie de vomir, mais tout laisser partir n'arange bien, elle aprend a le savoir.
Ces commes ces fichus larmes qui ne servent a rien.
. On se defile, on se cache, dès qu'on ecorche la surface, on contourne, on détourne, dès qu'on s'aproche on menace.
M ais la devant cet ordinateur le silence se fait, qu'est ce qu'elle pourrait bien ajouter, elle en a deja trop dit, ou pas assez.
Sa tourne beaucoup trop dans sa tete, mais elle ne peut pas s'en empecher.
Elle fonctionne comme sa, elle veut paraitre, elle veut etre, mais elle ne sait qu'etre le contraire, le contre-etre.
. Les nuages pleurent, ne pas regarder en arriere, J'ai peur d'avoir peur, ne plus avoir ma place sur cette terre.
Elle est comme sa, elle veut faire croire au gens que tout est naturel, mais c'est une grande timide, elle avait presque oublié, alors quand rien ne va comme elle le voudrait, elle s'enferme dans sa carapace, elle rentre dans sa bulle, elle se fait mal toute seul, car elle se force a fermer la porte a clé alors que sur les parois des poignards sont acrochés.
Alors elle gache toujours tout.
.Elle se leve enfin, je contourne les mots qui blessent, elle esquive ma main, se refuse a mes caresse. On tombe encore de plus haut.
Elle gache toujours tout ...
Je voudrais me compendre, je voudrais détruire cette bulle qui m'etouffe, mais je n'y arrive pas, c'est parfois tellement plus simple de rester dans son monde imaginaire, dans son monde de petit fille, ou tout va bien.
J'attends, jigé dans un monde qui bouge, j'attends qu'un jour s'allume la lumiere.
Mais le silence doit se faire c'est preferable.
.Ceux qui tremble avant de passer la porte, ceux qui soufre d'un amour quon leur impose, ceux qui cherche leur racine sans voir le ciel, ceux qui pleurent leurs enfants sur des photos, ceux qui vivent toute une vie sans voir le jour, ceux qui laussent sous un pont leur dernier souffle, ceux qui trouvent la force d'acusser les coups, ceux qui tiennent ils ne te donnent pas le droit de te plaindre.
Et etre enfin heureux, réouvrir mes yeux, demain tout ira mieux.
.On a toujours trop peur de ce qu'on cache à l'interieur.
elle se deteste, elle se degoute, au point qu'elle se donne envie de vomir, mais tout laisser partir n'arange bien, elle aprend a le savoir.
Ces commes ces fichus larmes qui ne servent a rien.
. On se defile, on se cache, dès qu'on ecorche la surface, on contourne, on détourne, dès qu'on s'aproche on menace.
M ais la devant cet ordinateur le silence se fait, qu'est ce qu'elle pourrait bien ajouter, elle en a deja trop dit, ou pas assez.
Sa tourne beaucoup trop dans sa tete, mais elle ne peut pas s'en empecher.
Elle fonctionne comme sa, elle veut paraitre, elle veut etre, mais elle ne sait qu'etre le contraire, le contre-etre.
. Les nuages pleurent, ne pas regarder en arriere, J'ai peur d'avoir peur, ne plus avoir ma place sur cette terre.
Elle est comme sa, elle veut faire croire au gens que tout est naturel, mais c'est une grande timide, elle avait presque oublié, alors quand rien ne va comme elle le voudrait, elle s'enferme dans sa carapace, elle rentre dans sa bulle, elle se fait mal toute seul, car elle se force a fermer la porte a clé alors que sur les parois des poignards sont acrochés.
Alors elle gache toujours tout.
.Elle se leve enfin, je contourne les mots qui blessent, elle esquive ma main, se refuse a mes caresse. On tombe encore de plus haut.
Elle gache toujours tout ...
Je voudrais me compendre, je voudrais détruire cette bulle qui m'etouffe, mais je n'y arrive pas, c'est parfois tellement plus simple de rester dans son monde imaginaire, dans son monde de petit fille, ou tout va bien.
J'attends, jigé dans un monde qui bouge, j'attends qu'un jour s'allume la lumiere.
Mais le silence doit se faire c'est preferable.
.Ceux qui tremble avant de passer la porte, ceux qui soufre d'un amour quon leur impose, ceux qui cherche leur racine sans voir le ciel, ceux qui pleurent leurs enfants sur des photos, ceux qui vivent toute une vie sans voir le jour, ceux qui laussent sous un pont leur dernier souffle, ceux qui trouvent la force d'acusser les coups, ceux qui tiennent ils ne te donnent pas le droit de te plaindre.
Et etre enfin heureux, réouvrir mes yeux, demain tout ira mieux.